La Mia Verità sulla Memoria dell'AcquaJacques Benveniste
Un libro che testimonia una tra le più affascinanti e innovative scoperte scientifiche (biologiche) del nostro tempo che gli ambienti accademici tradizionali si ostinano a ignorare. Un'incisiva testimonianza sulle vicende che hanno accompagnato e "segnato" il cammino di queste importanti scoperte e di chi le ha compiute.
Scomparso nell'ottobre del 2004, Jacques Benveniste è lo scienziato francese noto al mondo intero per i suoi studi sulla cosiddetta Memoria dell'Acqua - sulle alte diluizioni, ovvero sul principio fondante dell'Omeopatia, e soprattutto sui campi elettromagnetici e le loro applicazioni in medicina. I suoi lavori hanno provocato una viva controversia scientifica negli anni '80 e '90. Dopo la sua morte, i figli hanno fondato una associazione a sostegno del proseguimento delle ricerche dello scienziato.
Nel libro, già pubblicato in Francia ed in altri Paesi del Mondo ed ora edito in lingua italiana, Benveniste non si limita ad esporre la natura delle sue ricerche ma chiarisce i meccanismi di un universo scientifico ove le posizioni mediatiche e di potere paiono spesso avere il sopravvento sul semplice metodo sperimentale. Il libro testimonia una tra le più affascinanti e innovative scoperte scientifiche in campo biologico del nostro tempo, una questione chiusa a suo tempo maldestramente da Nature con artificiosi "giochi di prestigio" ma oggi riaperta dai recenti sviluppi tecnologici. Scritto in un linguaggio chiaro, immediato, intelligente e rapido, La Mia Verità sulla Memoria dell'Acqua si fa leggere agilmente come un romanzo, offrendo al contempo una panoramica di quel rigore, quella serietà e pure quell'ironia ed autoironia che fanno di Benveniste un grande uomo oltre che un grande scienziato.
Dalla prefazione:
… lo avevamo convinto a parlare delle sue ricerche, consapevoli del loro interesse scientifico e delle potenziali conseguenze legate ai risultati ottenuti. Le sue ultime scoperte non erano meno sorprendenti. Il laboratorio di Cavendish di Cambridge è stato palcoscenico di numerose e stupefacenti scoperte…Per questo, benché i suoi lavori facessero discutere, suscitando controversie, avevamo deciso di non allinearci alle opinioni dominanti della comunità scientifica e pertanto di non ignorare né censurare tali ricerche…ci proponevamo di rendere noto (il filmato di di una conferenza a Cambridge) non appena fosse consegnato il premio Nobel a Jacques Benveniste "per aver chiarito i meccanismi biologici relativi alla struttura dell'acqua", ed è veramente un peccato che tale onorificenza sia riservata soltanto agli scienziati ancora viventi. …Quanti si ostinano a credere che Benveniste avesse inevitabilmente firmato la sua condanna al declino e all'oblio, nel momento stesso in cui si era avventurato al di là dei campi convenzionali di ricerca nei quali aveva ottenuto tanta approvazione e successo si sbagliano totalmente e commettono un grave errore.... ... ...
Ma vérité sur la 'mémoire de l'eau'Jacques Benveniste
PRESENTATION EDITEUR :
Les travaux de Jacques Benveniste et de son équipe, non seulement sur les hautes dilutions – principe de l’homéopatie – mais aussi les champs électromagnétiques vont provoquer une très vive controverse scientifique dans les années 1980 et 1990, résumée par la formule journalistique de la « mémoire de l’eau ».
En retraçant sa démarche et les mises en cause dont il a été l’objet, le professeur Benveniste expose non seulement la nature de ses travaux mais éclaire les coulisses d’un univers scientifique où les positions médiatiques et de pouvoir paraissent souvent l’emporter sur la simple méthode expérimentale.
Jacques Benveniste, après plus de dix années de médecine hospitalière, s’engage, en 1965, dans des recherches en immunologie. En 1973, il intègre l’INSERM et concentre ses travaux sur l’immuno-pathologie de l’allergie et de l’inflammation. Il est décédé en octobre 2004.
Homeopathie. Mystère et boules de sucre
Enquête de santé. L'homéopathie, mystère et boules de sucreMardi 11 janvier 2011 à 20.35 (inédit)
Reconnue par l’ordre des médecins depuis 1997, utilisée par 40 % des Français et 66 % des mères de famille, l’homéopathie est une médecine encore très décriée. Le magazine Enquête de santé donne la parole cette semaine à ses ardents défenseurs et à ceux qui ne la considèrent encore que comme une chimère.
Médicament ou placebo ? Remède éprouvé ou supercherie ? Depuis deux cents ans, l’homéopathie crée la polémique. Si plus de 40 % des Français consomment régulièrement des granules en étant persuadés de leur efficacité, d’autres estiment que les petites pilules blanches ne sont rien d’autre que du sucre et de l’eau. Qui a tort ? Qui a raison ? Marina Carrère d’Encausse et Michel Cymes proposent cette semaine, dans Enquête de santé, de donner la parole aux partisans et aux opposants de cette méthode thérapeutique. En plateau, malades, spécialistes de la question et représentants des autorités de santé partagent leurs points de vue. Diffusé au cours de la soirée, le documentaire de Magali Cotard, Homéopathie : mystère et boules de sucre, revient avec clarté sur les raisons de ce clivage.
Il faut dire qu’il y a tout pour faire débat. Tandis que la médecine traditionnelle doit prouver qu’elle guérit, l’homéopathie n’est pas, de son côté, soumise à la même obligation de résultat. Les autorisations de mise sur le marché, très réglementées en France, permettent ainsi aux laboratoires spécialisés d’estampiller leurs tubes de granules « médicaments » sans que leur efficacité soit vérifiée. Une singularité qui a de quoi étonner. Pourquoi l’homéopathie jouit-elle de ce statut ? Pour les millions de personnes qui ont concrètement profité des effets de ces petites pilules, la question ne se pose pas. L’homéopathie leur a permis de se soigner de manière moins agressive, voire de trouver des solutions que l’allopathie ne leur apportait pas. En France, 30 000 médecins « traditionnels » n’hésitent plus à prescrire régulièrement de l’homéopathie et, parmi eux, 5 000 sont officiellement inscrits en tant qu’homéopathes. Les hôpitaux et de plus en plus de centres de cancérologie reconnaissent eux aussi les vertus de ces préparations pharmaceutiques.
L'effet placebo ?
Des médicaments qui n'ont pas prouvé scientifiquement leur efficacité.
© Pulsations
Les études menées ici et là n’arrivent cependant pas à déterminer clairement le rôle thérapeutique de cette médecine parallèle. Les groupes de personnes testées ont réagi de manière identique aux traitements homéopathiques et aux placebos. L’écoute, l’approche globale du patient auraient des effets positifs naturels sur celui-ci. « Les homéopathes sont en général de très bons cliniciens qui ont tout compris de l’effet placebo, explique le psychiatre Patrick Lemoine. C’est-à-dire de la capacité d’un médecin à induire la fabrication de médicaments intérieurs par l’organisme. Notre corps peut fabriquer des antibiotiques, des antifièvres, des anticancers. […] C’est une médecine très noble parce qu’ils obligent le corps à se guérir lui-même. »
Les opposants s’insurgent avec force, désolés de tant de crédulité. Pour eux, la fabrication même des granules est suspecte. Composées de venins de serpent, de crachats de tuberculeux, de lésions purulentes de la galle ou encore d’arsenic ou de calcaire d’huîtres, les petites pilules — dont les matières premières sont tellement diluées qu’il n’en reste pas grand-chose — ressemblent, comme le dit le psychiatre et pharmacologue Jean-Jacques Aulas, à « de la sorcellerie berrichonne ! » Pour l’instant, aucune preuve scientifique solide ne permet de s’opposer à ces railleries.
Isabelle Ducrocq
Mémoire de l'eau - Wiki France
Forse gli studi di Benveniste sono stati ispirazione per Massimo Citro, di cui la sua pubblicazione:
La Scienza dell'Invisibile di Massimo Citro
Luglio 2008
Vedi discussione:
Trasferimento Farmacologico Frequenziale (TFF)Edited by fabrizio3 - 12/10/2011, 13:22
